« Y’a-t’il », « Y-a-t-il » ou « Y a-t-il » ?
En français, l’apostrophe note l’effacement d’une voyelle placée en fin de mot devant un autre mot commençant également par une voyelle ou par un h muet. Cet effacement permet d’éviter un hiatus, facilitant la prononciation et évitant que deux voyelles se suivent. On dit et on écrit : J’admire la femme d’Hercule et non je admire la femme de … Lire la suite